Union des Métiers Génie Climatique Couverture et Plomberie UMGCCP

Les installations de VMC autoréglables double flux ont leurs propres cahiers des clauses techniques dans la norme NF DTU 68.3 « Installation de ventilation mécanique ».

Des garde-fous sur l’équilibre des débits entre l’extraction et l’insufflation et des exigences sur le calorifugeage des réseaux aérauliques sont définis.

Les systèmes de ventilation double flux pièce par pièce et ceux nécessitant un surdimensionnement pour les fonctions de chauffage ou de refroidissement sont exclus.

Il n'existe pas de référentiel unique regroupant l'ensemble des techniques de zinguerie. Toutefois, dans le domaine de la couverture, on peut se référer, en fonction des configurations, aux DTU de la série 40.

Retour non exhaustif sur les règles de l'art en la matière.

De nombreux désordres rencontrés sur les réseaux de chauffage ou d’ECS ont une origine commune : la qualité de l’eau. Afin d’y remédier, il est nécessaire de mettre en place un traitement adapté aux caractéristiques de l’eau.

Focus sur les principaux désordres rencontrés et quelques bonnes pratiques pour y remédier.

Bientôt 43 ans, c’était l’âge de la réglementation applicable aux installations de gaz combustible situées à l’intérieur des bâtiments d’habitation. En effet, l’arrêté du 2 août 1977 n’avait pas été modernisé dans sa forme mais avait essentiellement fait l’objet de modifications de fond, en fonction des thématiques nouvelles à traiter. Cet ancien arrêté n’encourageait pas le développement de l’innovation car il était construit dans une logique d’obligation de moyens.

En fonction du type de travaux et de la typologie de bâtiment, le professionnel doit produire un certificat de conformité.

C’est depuis la parution de l’article 4 de la loi n° 74-908 du 29 octobre 1974 qu’a été rendu obligatoire pour tout immeuble collectif pourvu d’un chauffage commun le fait d’avoir une installation permettant de déterminer la quantité de chaleur et d’eau chaude fournie à chaque local occupé.

Des règles professionnelles concernant la mise en œuvre des canalisations de chauffage et de conditionnement d’air, métalliques et en matériaux de synthèse, dans le bâtiment ont été élaborées.

Développer dans son entreprise une activité comme l’entretien et la maintenance nécessite d’établir préalablement ses propres contrats.

Leur rédaction n’est pas aisée et doit respecter quelques règles essentielles.

Un contrat doit notamment :

• pouvoir s’adapter au client et répondre à ses besoins
• être propre à l’entreprise et contribuer à sa force commerciale
• être précis et clair dans ses clauses pour éviter tout litige ou différence d’interprétation
• être équilibré entre les parties

Un exemple de contrat d’entretien et de maintenance à destination des particuliers a été élaboré pour accompagner les entreprises dans la rédaction de leurs propres contrats.

La version PDF de ce contrat est jalonnée de notes à destination des entreprises pour commenter ou apporter des précisions sur les clauses proposées. Une version Word reprend le contrat sans les notes afin que l’entreprise puisse s’en servir de base et le modifier, si elle le souhaite.

Cet exemple est général. Il doit être adapté à chaque équipement ou installation en modifiant et complétant notamment les conditions particulières et la fiche d’état des lieux.

L’entretien préventif d’une couverture a une influence significative sur la durée de vie de celle-ci. Il permet à la fois de prévenir les éventuels désordres, mais aussi de planifier les travaux de grosses réparations, en offrant l’avantage au propriétaire de l’ouvrage de maîtriser ses dépenses.

Pour un maître d’ouvrage ou ses mandataires l’entretien de la couverture fait donc partie de la bonne gestion du patrimoine puisqu'il permet d’anticiper, d’identifier et de planifier les travaux nécessaires et donc les dépenses liées à l’exploitation de sa toiture et de son bâtiment.